Déclinaison française de la PAC : la FOP se félicite de l’ambition affichée en faveur du développement des protéines en France

PARIS, le 21 mai 2021

 

Le Conseil d’administration de la FOP (Fédération des producteurs d’Oléagineux et de Protéagineux), réuni ce jour pour une séance exceptionnelle, a examiné les premiers arbitrages du Ministre de l’agriculture concernant le plan stratégique nationale (PSN) dont un des axes prioritaires vise à renforcer la souveraineté en protéines végétales de notre pays.

Dans le droit fil de ses positions antérieures, la FOP tient à réaffirmer tout son attachement à la mise en place d’un plan de relance des protéines végétales ambitieux tant au niveau français qu’européen. Ce plan de relance est en effet une formidable opportunité pour le secteur des grandes cultures et le secteur de l’élevage en leur permettant de répondre efficacement aux attentes de la société. La FOP se félicite donc de la reconnaissance de cet intérêt majeur dans les orientations stratégiques du PSN.

Elle souligne aussi que ce plan ne pourra être une réussite que s’il permet, sous l’impulsion des agriculteurs, une véritable structuration des filières. A ce titre, la FOP relève l’ouverture faite au titre des programmes opérationnels et fera des propositions en ce sens afin notamment de promouvoir la compétitivité et l’attractivité des cultures riches en protéines. Elle demande aussi à ce que le dispositif d’aides couplées accompagne cette volonté de créer de la valeur au sein de filières organisées.

Enfin, la FOP tient à rappeler qu’elle restera particulièrement vigilante sur la finalisation des derniers arbitrages, notamment ceux ayant trait aux bonnes conditions agronomiques et environnementales (BCAE) qui doivent répondre aux réalités du terrain plutôt qu’à une approche technocratique.

Commentant ces mesures, le Président de la FOP, Arnaud ROUSSEAU, a déclaré : « Je relève que l’objectif exprimé par le Président de la République de favoriser la souveraineté protéinique et alimentaire de notre pays est bel et bien conforté et confirmé. Toutefois, la vigilance demeure tant que tous les arbitrages ne sont pas connus. Il en est ainsi de l’éco-régime qui doit être accessible à tous et des mesures du second pilier qui doivent être pragmatiques. Par ailleurs, tout ceci serait sain sans une véritable réflexion sur les facteurs de production et les mécanismes de gestion des risques. Il convient de poursuivre ce travail collectivement au sein de la FNSEA afin de concrétiser notre stratégie gagnant-gagnant pour la performance agro-écologique de la ferme France ».

 

Contact : Thibaut LEDERMANN – 06 50 69 20 08

Producteurs de grandes cultures en difficulté: les grands oubliés de la solidarité nationale !

 

Paris, le 09 mars 2021 – L’AGPB, l’AGPM, la CGB et la FOP prennent note de la décision du Gouvernement d’accompagner les éleveurs bovins de race à viande ayant dégagé un revenu inférieur à 11.000 euros en 2020. Si on ne peut que saluer une telle décision, elles tiennent à faire part de l’incompréhension de nombreux producteurs de grandes cultures qui vivent pourtant des situations similaires.

Conscients des très graves difficultés que traverse notre pays et que subissent nos concitoyens avec cette pandémie, l’AGPB, l’AGPM, la CGB et la FOP rappellent que les producteurs de grandes cultures, en dépit de revenus moyens en berne depuis maintenant huit ans, ont tenu à assurer l’essentiel, à savoir l’approvisionnement des filières. Ils sont fiers d’avoir pleinement rempli ce qui est leur mission  première : nourrir les femmes et les hommes.

Cependant, avec l’augmentation continue des charges, des contraintes et une récolte 2020 catastrophique, la réalité est que près de 60% des producteurs de grandes cultures ont un revenu annuel inférieur à 1 smic ! Ils sont donc aujourd’hui atterrés de se voir ainsi oubliés de la solidarité nationale !

L’AGPB, l’AGPM, la CGB et la FOP ne peuvent accepter l’indécence d’un tri entre les situations d’extrême gravité. Elles tiennent à dire avec la plus grande fermeté qu’elles sont solidaires de tous les agriculteurs en difficulté et demandent que les mesures d’accompagnement prises les concernent tous, sans distinction de filière ou de territoire. Elles soulignent enfin que si le Gouvernement maintenait le cap tel qu’il vient de le définir, il prendrait le risque d’exacerber des tensions et d’inciter à des réactions dont notre pays n’a vraiment pas besoin.

Aussi, Eric Thirouin, Président de l’AGPB, Daniel Peyraube, Président de l’AGPM, Franck Sander, Président de la CGB et Arnaud Rousseau, Président de la FOP, appellent le Premier Ministre et le Ministre de l’Agriculture à remédier dans les plus brefs délais à cette situation aux effets désastreux et à veiller à ce que les prochaines annonces sur la Politique Agricole Commune ou le Plan Stratégique National tiennent pleinement compte de la réalité des situations des différentes filières et territoires et soient justes, équilibrées et économiquement viables, à l’image des propositions portées par la FNSEA.

 

RE-AUTORISATION DU PHOSMET : UNE CONDITION SINE QUA NON A LA REUSSITE DU PLAN PROTEINES

Paris, le 21 décembre 2020

A l’heure où la France doit faire part à la Commission européenne de sa décision sur la ré-autorisation du Phosmet, la FOP alerte une nouvelle fois les Pouvoirs publics sur les conséquences dramatiques pour les producteurs de colza qu’aurait une position de leur part en faveur du retrait de ce produit qui protège le colza des ravages de certains insectes.

La FOP rappelle qu’il n’existe pas, en dépit des nombreux travaux actuellement conduits, de solution alternative au Phosmet qui soit efficace et crédible contre les ravageurs d’automne. Elle souligne également que, selon des études concordantes, la suppression de ce produit entrainerait une baisse des surfaces de colza de près de 300 000 hectares et les conséquences suivantes :
• Fragilisation des exploitations agricoles, principalement en zones intermédiaires alors que leur économie est largement dépendante du colza,
• Fragilisation de la filière apicole et perte de biodiversité : le colza constitue une part primordiale du bol alimentaire des pollinisateurs, en particulier dans les zones de plaines,
• Fragilisation du tissu industriel : ce recul représente une perte d’environ 1 million de tonnes de graines, soit l’équivalent d’une des principales usines françaises de trituration,
• Hausse de notre dépendance protéinique : 300 000 ha de colza en moins, ce sont 500 000 tonnes de tourteaux français, non OGM en moins ; 4 points de dépendance supplémentaires et une hausse des importations en provenance de pays où OGM et déforestations sont assumés,
• Hausse de notre dépendance énergétique du fait d’une moindre production de biodiesel, énergie renouvelable biosourcée et locale et importation de 230 000 tonnes de gazole fossile en plus.

A l’heure où le Plan de relance des protéines végétales voulu par le Président de la République vient d’être concrètement mis en place par le Ministre de l’agriculture, la suppression du Phosmet porterait donc un coup d’arrêt fatal à l’ambition et réalisation effective de celui-ci.

La FOP réaffirme très clairement que, si les producteurs sont prêts à relever ce défi et celui plus large de la transition écologique, cela nécessite qu’ils aient accès aux moyens de production adéquats et que cela ne se fasse pas au détriment de leurs revenus.

Interrogé sur ce sujet, Arnaud Rousseau, Président de la FOP a notamment déclaré : « pour moi il n’y a qu’une seule et unique ligne politique : celle définie par les Pouvoirs publics selon laquelle il ne peut y avoir de retrait sans solution. La France doit appuyer la ré-autorisation du Phosmet. Les producteurs, exaspérés d’être otages de querelles absurdes, espèrent que la position retenue répondra à leur vœu le plus cher : qu’on les laisse travailler de façon sereine et pérenne ».

Contact : Grégoire DUBLINEAU – 0677021650

Les grandes cultures demandent un plan d’urgence au Gouvernement

 

Jeudi 17 septembre 2020 – Le conseil spécialisé grandes cultures de FranceAgriMer a dévoilé les estimations officielles de récolte. Les chiffres sont là, la situation économique des producteurs est catastrophique. Depuis 8 ans, leurs revenus sont en berne. Ce n’est plus tenable, un sursaut de l’Etat est indispensable. Aussi, les filières Grandes cultures appellent le gouvernement, à prendre des mesures à la hauteur de la situation.

Les producteurs de grandes cultures ont vécu une des pires campagnes depuis vingt ans. Les aléas climatiques deviennent la règle année après année. En 2019-2020, les conditions climatiques (automne pluvieux, hiver sans gel puis la sècheresse qui a suivi), et les attaques désastreuses de ravageurs, ont amputé la production de blé tendre (-25,5%), de blé dur (-16,7%), des orges (-20,1%), du colza et des protéagineux (-6,5%) et des betteraves (-15,4%) selon le SSP Agreste du 15/09 et les perspectives sont sombres pour les maïs non irrigués.

Ces chiffres officiels confirment malheureusement les estimations des producteurs. Dès le début de l’été, ils avaient alerté le gouvernement sur leur fragilité économique et la nécessité de mettre en œuvre un plan d’urgence exceptionnel pour soutenir un secteur stratégique pour la France.

A ces phénomènes climatiques, s’ajoutent des orientations politiques basées sur la suppression des moyens de protection des plantes sans alternatives économiquement viables et la baisse continue depuis 20 ans des soutiens européens.

Aujourd’hui, les producteurs sont à bout de souffle et la majorité d’entre eux se pose la question de la poursuite de leur métier. Il est urgent de redonner un cap et une ambition à l’agriculture française qui doit reposer sur trois piliers :

  • Garantir la résilience des exploitations au travers d’un rééquilibrage de la PAC en faveur des producteurs de grandes cultures, de solutions assurantielles pour faire face à l’ampleur croissante des aléas, et d’une politique de gestion et stockage de l’eau efficace,
  • Accompagner la transition agroécologique en soutenant la compétitivité des entreprises et l’économie des filières par l’adoption de mesures fiscales incitatives et immédiates,
  • Déployer une politique de gestion des moyens de production cohérente qui fait le pari de l’innovation, de la recherche via des investissements significatifs (numérique, robotique, variétal) et non des interdictions brutales.

L’avenir des filières végétales se joue maintenant. Les filières Grandes Cultures estiment que les objectifs du Plan France Relance sont un signal positif à condition toutefois de permettre aux producteurs de produire. Tel n’est pas le cas aujourd’hui.

Aussi et avant qu’il ne soit trop tard, elles demandent des mesures fortes pour qu’indépendance et souveraineté alimentaire ne soient pas qu’une belle illusion.

Contacts presse :

AGPB : Julie Chaouat – 06 84 38 12 21
AGPM : Anne Kettaneh : 06 83 22 05 01

CGB : Carine Abecassis : 01 44 69 41 36
FOP : Thibault Ledermann : 06 50 69 20 08

Ecophyto : les agriculteurs n’y comprennent plus rien et demandent une remise à plat des indicateurs

Elisabeth Borne, ministre de la Transition écologique et solidaire, Agnès Buzyn, ministre des Solidarités et de la Santé, Frédérique Vidal, ministre de l’Enseignement supérieur, de la Recherche et de l’Innovation, et Didier Guillaume, ministre de l’Agriculture et de l’Alimentation ont présenté hier, au comité d’orientation stratégique et de suivi (COS), les résultats de l’évolution des indicateurs Ecophyto 2+.

Selon les Ministres, la consommation de produits phytosanitaires aurait augmenté alors même que les pouvoirs publics ne cessent de prononcer des interdictions. Ces annonces soulèvent l’incompréhension.

Augmentation du biocontrôle, des surfaces en agriculture biologique (+13%), retrait des molécules les plus préoccupantes, ces évolutions sont bien réelles. Mais elles ont aussi pour conséquence l’augmentation des impasses techniques qui entrainent l’arrêt de plusieurs productions, l’augmentation des coûts de production, l’accroissement des risques sanitaires (datura, ambroisie…).

Il est urgent de remettre davantage de réalisme dans les indicateurs à même de valoriser les efforts réalisés. Cela permettrait d’informer réellement nos concitoyens et non de stigmatiser une fois de plus les agriculteurs. Relançons le dialogue à travers les chartes riverains, redonnons à la science et aux agences sanitaires une place prépondérante dans les prises de décisions.

Contact presse :

AGPB: Julie CHAOUAT- 01 40 07 98 20

AGPM: Anne KETTANEH- 06 83 22 05 01

CGB: Carine ABECASSIS- 01 44 69 41 36

FOP: Thibaut LEDERMANN- 06 50 69 20 08

Les grandes cultures s’engagent dans la démarche du « label bas carbone »

Les producteurs de grandes cultures et leurs instituts techniques s’engagent pour élaborer la méthode du « label bas carbone » dans le secteur des grandes cultures. Faire reconnaître les atouts et la contribution positive des grandes cultures dans la lutte contre le changement climatique au travers du stockage du carbone et de la réduction des émissions de gaz à effet de serre est un enjeu majeur. C’est dans le secteur des grandes cultures que réside un des plus forts potentiels de stockage de carbone en France. Les grandes cultures doivent donc contribuer à l’atteinte des objectifs climatiques de la France.

L’objectif consiste à rédiger une méthode sectorielle grandes cultures d’ici l’été 2020. Celle-ci, qui devra être approuvée par le Ministère de la Transition écologique et solidaire, comprendra l’ensemble des leviers de réduction des émissions de gaz à effet de serre mis en oeuvre par les producteurs ainsi que les pratiques visant à stocker davantage de carbone.

Cette méthode « grandes cultures » viendra s’articuler avec les méthodes déjà formalisées ou en cours de rédaction, dans le secteur agricole ou les autres secteurs, pour permettre aux porteurs de projets locaux de formaliser chez les producteurs de grandes cultures, les crédits carbone offrant de nouvelles perspectives de financement. Cela s’inscrit naturellement dans un mouvement plus global tel que l’initiative 4 pour 1000.

Dans ce cadre, les partenaires proposeront, le 12 décembre prochain, lors d’une réunion de l’ensemble des acteurs scientifiques et techniques impliqués sur la thématique « bas carbone », une organisation de travail commune et ouverte à tous pour obtenir du Ministère compétent, dans les meilleurs délais, l’approbation indispensable de la méthode en vue du lancement des projets concrets.

 

Contact presse :
AGPB: Mathilde Lehoux 01 85 09 83 71
AGPM: Anne KETTANETH 06 83 22 05 01
CGB:Claire ABECASSIS 01 44 69 41 36
FOP: Thibaut LEDERMANN 06 50 69 20 08


AGPB (Association générale des producteurs de blé), AGPM (Association générale des producteurs de maïs), CGB (Confédération Générale des planteurs de betteraves) et FOP (Fédération française des producteurs d’oléagineux et de protéagineux), ARVALIS-Institut du végétal, ARTB (Association de Recherche Technique Betteravière), ITB (Institut technique de la betterave), Terres Inovia.

 

Produits phytosanitaires: stop à l’acharnement réglementaire !

 

La protection des riverains lors des applications de traitements phytosanitaires est tout l’objet de l’article 83 de la loi EGALIM. Elle repose sur l’élaboration de chartes départementales d’engagements et bon nombre d’entre elles sont déjà signées dans l’ensemble du pays. Faisant fi de cette démarche territoriale, le gouvernement souhaite imposer au niveau national des « Zones de non-traitement » (à 10 mètres ou 5 mètres selon les usages) autour des espaces attenants aux bâtiments d’habitation ou d’activité. Cette mesure est inacceptable pour les producteurs de grandes cultures.

Paris, le 19 juillet 2019 – L’imposition, au niveau national, de « Zones de Non-Traitement » de 5 à 10 mètres, qui va à l’encontre des démarches engagées à la suite de l’adoption de la loi EGALIM, conduirait à retirer de la production des milliers d’hectares de grandes cultures. Cette proposition rajoute de nouvelles contraintes sans tenir compte des efforts déjà réalisés ni des conséquences économiques engendrées pour les producteurs de grandes cultures déjà durement éprouvés depuis maintenant cinq années par les aléas climatiques et économiques.

Les producteurs de grandes cultures se sont pourtant mobilisés dans le cadre des chartes riverains, mais aussi au travers du contrat de solutions, pour prendre en compte l’utilisation des phytosanitaires à proximité des bâtiments d’habitation. Les chartes, à l’image des démarches déjà mises en œuvre pour assurer la protection des personnes sensibles, tiennent compte des techniques et matériels utilisés, des horaires de traitement, de la spécifié des lieux et de l’ensemble des paramètres pédo climatiques permettant de définir les actions à mettre en place dans chaque département.

Ces chartes sont élaborées en concertation avec l’ensemble des parties prenantes ! Pourquoi ne pas faire confiance aux agriculteurs et aux acteurs des territoires ? Faut-il en permanence des mesures réglementaires nationales, au risque d’être de plus en plus déconnecté de la réalité concrète du terrain  ?

Le rythme des annonces et des contraintes n’est plus compatible avec la capacité d’adaptation des exploitations agricoles : trop c’est trop !

Nous demandons au gouvernement d’arrêter cette surenchère réglementaire permanente et de respecter l’esprit qui a prévalu lors de l’adoption de la loi EGALIM, et de privilégier la démarche d’élaboration de chartes départementales.

Contact presse :
FOP – Thibaut LEDERMANN – 06 50 69 20 08
AGPB – Guillaume LORRE – glorre@agence-rdn.com – 07 50 14 58 26
AGPM : Anne KETTANEH-06 83 22 05 01
CGB : Carine ABECASSIS – 01 44 69 41 36

Une nouvelle voie de valorisation pour le colza français: la FOP salue le partenariat stratégique conclu par DSM et le groupe Avril

A l’heure où la moisson de colza a débuté dans un certain nombre des régions et où chacun pense également aux semis à venir, la Fédération Française des Producteurs d’Oléagineux et Protéagineux (FOP) rappelle que les cultures oléagineuses et protéagineuses sont des sources évidentes de protéines végétales desquelles l’Europe et la France manquent cruellement. Elles sont essentielles pour répondre aux attentes des marchés de l’alimentation humaine et de la nutrition animale.

A ce titre, la FOP tient à saluer le partenariat stratégique conclu par DSM et le groupe Avril en vue de de la production et la commercialisation de protéines végétales, à base de colza non OGM, pour la consommation humaine.

Cette nouvelle opportunité pour la filière des huiles et protéines végétales de valoriser sa production française démontre la richesse des propriétés du colza non OGM français et va, à court terme, s’avérer être un débouché nouveau pour les producteurs hexagonaux.

Cette initiative innovante et stratégique s’intègre pleinement dans l’ambition de la FOP de contribuer au développement de nouveaux débouchés et de nouvelles sources de valorisation de la graine pour tous les producteurs de colza.

Arnaud Rousseau, Président de la FOP, a déclaré à ce propos : « dans un contexte d’interrogations, la filière des huiles et protéines végétales cultive une filière d’avenir et apporte des solutions innovantes dans le secteur de la protéine végétale. Les agriculteurs français sont très fiers de contribuer à cette première mondiale. »

 

Contact : Thibaut LEDERMANN t.ledermann@fopoleopro.com – 06 50 69 20 08

Colza – L’ensemble de la filière des huiles et protéines végétales se mobilise

Collectivement forte, notre filière se moblise pour continuer d’assuer aux producteurs et opérateurs des débouchés à haute valeur économique pour le colza et pour leur apporter un accompagnement technique performant.

  • Sécuriser les débouchés: notre engagement paie !
  • Cap sur l’indépendance en protéines
  • Nous relevons les défis agronomiques et techniques au service des producteurs

 

Retrouvez la communication de la filière des huiles et protéeines végétale : Colza- L’ensemble de la filière des huiles et protéines végétales se mobilise